Roche-Bobois-Cape-Town

« Roche Bobois était attendu à Cape Town »

Questions à Gilles Bonan, directeur de Roche Bobois

Quel a été l’accueil réservé à l’arrivée de Roche Bobois dans le paysage sud-africain ?

Roche Bobois a reçu un accueil très chaleureux à Cape Town. La marque était très attendue aussi bien par la presse qui avait eu vent de notre arrivée que par la clientèle qui est déjà très attachée à notre marque. En effet, la majorité de la clientèle africaine que nous visons connaît déjà Roche Bobois à travers notre présence en Europe ou ailleurs. Cette clientèle est de plus en plus friande de décoration, et se montre particulièrement sensible à la créativité de Roche Bobois, à la qualité de nos fabrications et à la diversité de notre offre. Je suis confiant sur le fait que Roche Bobois rencontrera son public en Afrique du Sud.

 

Comment se positionne Roche Bobois sur un marché sud-africain assez concurrentiel en termes de décoration intérieure ?

Roche Bobois est une marque qui a aujourd’hui 55 ans, et qui s’est régulièrement développée au fil du temps autour de valeurs fortes de créativité, de qualité, de diversité et d’innovation. L’économie sud-africaine est l’une des plus prospères d’Afrique, la décoration et le design y ont une place toute particulière et l’Europe et la France y jouissent d’une très bonne image. Autant de facteurs favorables qui ont justifié l’ouverture de Roche Bobois à Cape Town. Nous sommes d’ores et déjà actifs sur le chemin d’une seconde ouverture à Johannesbourg. Roche Bobois est donc complètement légitime sur ce marché et devrait y trouver sa place. Je suis confiant sur le fait que Roche Bobois rencontrera son public en Afrique du Sud.

 

Qu’en est-il de l’évolution de la marque dans la région océan Indien ?

Nous sommes déjà présents à Saint Denis de La Réunion et à l’Île Maurice. Le développement se tourne plutôt du côté de l’Afrique. De façon générale, l’Afrique est un continent qui compte de plus en plus économiquement et qui sera rapidement incontournable à moyen terme. D’autres projets sont à l’étude sur le continent africain, notamment au Nigeria ou au Ghana.

 

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