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L’hôtel Dinarobin Beachcomber Golf Resort & Spa a dévoilé son installation lumineuse, « Le Chant des Lucioles », le samedi 19 octobre dernier. Conçue par l’artiste tuniso-belge, Naziha Mestaoui, l’œuvre sublime les jardins du 5-étoiles à travers une création qui fait vivre les lieux de manière artistique la nuit. Le lancement a eu lieu en présence du CEO de Beachcomber Resorts & Hotels, Gilbert Espitalier-Noël. Cette création fait suite à un appel à projet lumineux lancé par Dinarobin Beachcomber en juillet de cette année en collaboration avec Move For Art.
« Le Chant des Lucioles » se compose d’une forêt de bambous à l’extrémité desquelles, on retrouve 200 éoliennes miniatures. Une fois la nuit tombée, les éoliennes s’allument au passage du vent, créant une vague onirique de lumières vacillantes. Elles apparaissent et disparaissent au gré du vent telles des lucioles et les carillons à vent qui y sont intégrés confèrent une dimension sonore qui amplifie la création.
L’œuvre est signée Naziha Mestaoui, artiste environnementaliste et architecte, qui était présente au lancement. « Mon inspiration pour Le Chant des Lucioles vient directement de la nature : du site du Dinarobin Beachcomber qui est super inspirant, et aussi de l’Amazonie, où j’ai passé l’été. Chaque jour à la tombée de la nuit, j’avais la chance d’assister à un spectacle merveilleux de lucioles. C’est ce qui m’a fortement inspiré, parce que l’émerveillement que la nature est capable de générer, dépasse tout ce que l’on peut imaginer », soutient celle qui est connue comme une pionnière dans l’art digital. Une de ses œuvres les plus célèbres, One Heart One Tree, avait été créée à l’occasion de la COP 21 en France en 2015.
On retrouve aussi un deuxième tableau, « Networked trees » un peu plus loin sur la plage. Cet ouvrage tridimensionnel se compose d’un volume de fils colorés, régi par un processus de comptage autour du nombre 52, tissé parmi les arbres. Le nombre 52 fait un clin d’œil aux 52 vagues du logo de Beachcomber, symbolisant son année de création en 1952. Le dévoilement de ces œuvres s’inscrit dans la stratégie du Groupe Beachcomber d’enrichir et de sublimer l’expérience clients à travers des actions artistiques qui mettent en valeur les atouts nature des hôtels.
Dinarobin Beachcomber accueillera une troisième œuvre lumineuse d’un artiste mauricien, Nirmal Hurry, dans ses jardins. Ce sera aussi au tour des hôtels Paradis Beachcomber et Trou aux Biches Beachcomber de dévoiler en novembre, les expériences artistiques qui contribueront à faire vivre leurs lieux à la nuit tombée.
Photo en tête d'article: Gilbert Espitalier-Noël, CEO de Beachcomber, entouré de l'artiste Naziha Mestaoui (à g.), et d'Astrid Dalais de Move for Art
When light becomes Art at Dinarobin Beachcomber
Dinarobin Beachcomber Golf Resort & Spa unveiled its art lighting installation, “The Song of Fireflies” on Saturday 19th October. Created by the Tunisian-Belgian artist Naziha Mestaoui, the artwork has been integrated in the gardens of the 5-star and is to be seen at its best during the evening. The launch took place in the presence of the CEO of Beachcomber Resorts & Hotels, Gilbert Espitalier-Noël.
The Song of Fireflies is made up of a bamboo forest with 200 small wind turbines at the tip that create a surreal wave of flickering lights illuminated as the wind blows. The lights appear and disappear as pleases the wind, like fireflies; chimes have also been added to give a sound effect that intensifies the creation. This art piece results from a call for lighting projects launched by Dinarobin Beachcomber in July this year, in collaboration with Move for Art.
The ecology and architecture artist Naziha Mestaoui, creator of the light structure, attended the launch event. “My inspiration for the Song of Fireflies comes directly from Nature: the site of Dinarobin Beachcomber is very inspiring, as well as that of the Amazon, where I spent summer. Every day, at dusk, I was lucky to watch the fireflies in a stunning ballet. This inspired me a lot, because the wonder Nature is able to create goes beyond anything we could imagine”, says the artist who is known as a pioneer of digital art. One of her most famous works, One Heart One Tree, was created alongside the COP 21 in France, in 2015.
There is also a second art piece, “Networked Trees”, a bit further on the beach. The tri-dimensional work is composed of coloured strings, arranged based on the figure 52, woven across the trees. The number 52 refers to the 52 waves of Beachcomber logo, representing its creation in 1952. The unveiling of these works goes along the strategy of Beachcomber Group to enrich and sublimate the guest experience through art actions, while highlighting the nature aspects of its hotels.
Dinarobin Beachcomber will be soon hosting a third art work from a Mauritian artist, Nirmal Hurry, in its gardens. This will be followed by Paradis Beachcomber and Trou aux Biches which will unveil similar art experiences in November.
Top photo (From left): Naziha Mestaoui, Gilbert Espitalier-Noël, CEO of Beachcomber, and Astrid Dalais from Move for Art